Résumé :
Dans un monde agité par les tempêtes, cette anthologie se veut une bouteille jetée à la mer dans l’espoir que le lecteur occidental qui la recueillera s’en imprègne quelque peu, mais dans l’espoir surtout que le jeune lecteur arabe se souvienne de l’ouverture d’esprit, de l’audace créative de ses ancêtres qui ne ressemblaient en rien à ceux qui, de nos jours, persistent à consulter l’heure sur des montres arrêtées.
Des ancêtres qui eurent pour nom : Ibn Khaldûn, père de la sociologie, Avicenne, génie de la médecine, Al-Khwarizmi, père de l’algèbre et des algorithmes, Ibn al-Nafis, découvreur de la petite circulation sanguine, Ali al-Mawsili, premier à réussir l’extraction de la cataracte par aspiration, Al-Idrîsî, auteur de l’une des cartes du monde médiévales les plus avancées, Averroès, Al- Fârâbî, Omar Khayyâm et tant d’autres.
Ce livre veut rappeler qu’il a existé un véritable âge d’or de la civilisation arabe, laquelle compte parmi les plus magnifiques de l’histoire de l’humanité.
