Résumé :
“Kafka ne nous a laissé que des fragments ; ses romans le sont au même titre que ses aphorismes et ses journaux intimes. Mais ce qui frappe de prime abord, c’est que l’inachèvement n’exclut pas une subtilité et une minutie du détail peu communes. Rien de plus poignant que cette intensité, sans cesse interrompue par l’insatisfaction, sans cesse reprise par l’espérance, voire la certitude d’une totalité à conquérir”. (Pierre Klossowski)